la patte de sly

la patte de sly

un pti passage dans la police française monsieur.

Petit passage obligé à mon époque, oh putain le vieux...

Le service militaire, pas si con que ça, il ma permis de me confronter de manière utile aux maux de la société et ce que pouvait faire un cadre de vie et des conditions de vie sur l'homme, sa nature et ces travers. Sur le premier dessins beaucoup de chose représentées en une seul image, et elle résume bien cette année 1998 passée en uniforme. je vous laisse joué au mais il y a combien de détails à la con dans ce dessins. Coyote est un spécialiste de genre de pti détails.

 

 

 

Le second, le bal de la police. Si on m'avait dit un jour que je participerais à un bal de la police... Vous savez, comme dans les série américaine. Mais bon là ct'était à la française et au mans, et j'en avait réalisé l'affiche.

Merci monsieur Visdeloup. Du moins c'est le nom que j'ai retenu de la personne qui m'avait demandé de faire cela pour lui.

 

 

 

Le dessin suivant, bien que raté sur certain points à mon gout, résume parfaitement la clientelle que nous étions amené à croiser dans ce quartier du mans. Vous me croirez si vous le voulez, mais le personnage qui resemble à gotlib au centre, était réel dans ce bureau de police. Mon paternel encore une fois, lors d'un passage dans ce bureau pour voir son rejetons, l'a tout de suite identifié grace à ce dessin.

Pour ceux qui connaisse mon paternel. Il y a aussi de ces traits à lui dans le personnage.

 

 le Clodo à doite, existe lui aussi en vraie, du moins peu être plus qui sait. Je l'ai rencontrer suite au décés de son copin de biture, celui de l'appartenement d'en face.Vous me croirez encore une fois si vous le voulez, mais je l'ai revue un ou deux ans plus tard. Une personne ou un ange avait du se pencher sur son sort, car je l'ai recroisé dans la rue et la seul chose qui ma fait dire que c'était la même personne, c'était ce tarin parfaitement identifiable et inimitable. Une fraise comme j'amais j'en avais vu et sans doute jamais n'en reverais.

 

Le petit exité accroché au mur existait aussi, et sur le principe j'aurais bien voulus l'accrocher au mur dans la vraie vie. Mais la loi obligeant, il faut resté gentil avec les gents qui se foutent de l'autorité, et l'insulte qu'en tu as un uniforme. Car sinon, soit tu te retrouve avec des associations sur le dos, soit on te traite de raciste, soit tu es tout simplement entouré de toute sa famille voir tous ces copains.

Difficile de lutter. Surtout qu'en les seuls personnes capable d'intendiffier les fauteurs de trouble se fonf défoncer leur seul moyen de locomotion au titre du fait qu'ils vous aient parlez dans la rue. même pour dire bonjour. c'est pas Palerm, mais l'omerta ils savent ce que c'est.

 

Pas simple le boulot d'ilotier, c'est comme ça qu'il s'appelaient à l'époque, maintenat on les appels agent de proximité ou autre selon le parti au pouvoir ou les besoins de com du moment.

Messieurs je vous tire qu'en même mon chapeau, particuliérement à Monsieur Jean Luc LELONG et M. REGIS. 

 



18/03/2012
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